Colomban Pere D Emile – De plus, il a été assez actif au sein du Bastion Social Marseille, une petite mais violente organisation néofasciste, pendant un certain temps. Colomb a également comparé en 2018 devant le tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence.

Il a été arrêté pour son rôle présumé dans une attaque contre des étrangers, puis libéré sous caution. Emmanuel Macron a ordonné la fermeture de tous les bureaux du Bastion social en 2019, et les préfectures concernées ont engagé le processus.

Une des pires choses qui puisse arriver dans la vie est de perdre un enfant. Les volontaires aidant à retrouver la famille d’Emile ont critiqué sa présence lors de conflits pour tenter de retrouver son fils. Au moins l’un d’entre eux a publiquement critiqué ses actions.

Depuis le 8 juillet de cette même année, le minuscule Émile a disparu de la commune isolée du Haut Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), malgré d’intenses recherches et battues. L’attitude du père tout au long de la mobilisation des bénévoles à la recherche du fils de 2 ans a également surpris tout le monde. Il aurait été un peu trop honnête avec les gens qui l’ont intrigué à 26 ans.

Il a pris des mesures fortes et autoritaires.

La façon dont il était habillé nous a pris au dépourvu. Sa tenue se composait d’une chemise à col roulé et d’un pantalon habillé. Il a pris sa position de leader au sérieux et n’a pas eu peur d’élever la voix à ceux qu’il pensait se comporter mal. Tout le monde est un peu surpris par cela. Lorsque La Dépêche demande aux bénévoles ce qui les touche le plus, l’un d’eux leur dit : « J’ai vu le grand-père du petit pleurer, c’était très touchant.

Colomban S., le papa d’Emile, est ingénieur de métier et ancien membre du groupe d’extrême droite Bastion social Marseille, démantelé en 2019 par la préfecture de police des Bouches-du-Rhône. De plus, il a été initialement inculpé d’agressions sur des étrangers et a dû comparaître devant le tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence en 2018.

Des cathos dits tradis voire intégristes, un père qui a tâté d’une mouvance d’extrême droite… comme les affreux de Génération Identité. Les médias ne pleurent plus la disparition tragique d’un petit garçon aux cheveux blond vénitien, mais plutôt la religion et les opinions politiques des parents du garçon. La presse est aux anges depuis que certains médias ont réussi à coller le label “extrême droite” à cette famille. Celui qui fait la révélation la plus “croustillante” gagne.

Les noms et prénoms du jeune couple ont déjà été rendus publics. Et Twitter, pour couronner le tout… « extrémiste d’extrême droite » ; “ratonneur” ; « Le pedigree familial raciste et intégriste est évidemment une piste d’investigation » ; “certain Anthony”, acteur et metteur en scène. Le père avait des problèmes juridiques et est sorti de la situation complètement propre.

Ségolène Royal, une agente politique, a un jour tweeté qu’elle était choquée que “la mère” ait été “auditionnée” si tard, comme Marguerite Duras dans l’affaire Grégory, avant de blâmer “le père au profil très interrogateur” et d’invoquer “la vengeance familiale”.

Perdre un enfant est l’une des plus grandes épreuves de la vie, sinon la pire. Le père d’Emile a été critiqué par des volontaires de recherche pour être là lors de batailles pour localiser son enfant. L’un d’eux s’est même prononcé contre son comportement.

Malgré de nombreuses recherches et battues dans le village reculé du Haut Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), le petit Émile est porté disparu depuis le 8 juillet de cette année-là. L’attitude du père lors de la mobilisation des bénévoles tentant de retrouver le garçonnet de 2 ans a également surpris ceux-là. A 26 ans, le jeune homme aurait été un peu trop franc avec les personnes qui l’intéressaient.

Il a agi avec beaucoup d’autorité.

Ce qui nous a surpris, c’est à quel point il était bien habillé. Il était vêtu d’une chemise à col roulé et d’un pantalon de ville. Il avait un sens aigu de l’autorité et n’hésitait pas à élever la voix pour corriger toute personne qu’il estimait agir de manière inappropriée. Cela a pris tout le monde un peu au dépourvu. L’un des bénévoles contacté par La Dépêche se souvient : « J’ai vu le grand-père du petit pleurer, c’était très émouvant.

Pour vous rafraîchir la mémoire, Colomban S., le père d’Emile, est un ingénieur des Yvelines qui a été membre du groupe d’extrême droite Bastion social Marseille (dissous en 2019 par la préfecture de police des Bouches-du-Rhône). Par ailleurs, en 2018, il a été cité à comparaître devant le tribunal correctionnel d’Aix-en-Provence pour une agression présumée sur des étrangers, mais les charges retenues contre lui ont finalement été abandonnées.

Une connaissance de La Bouilladise, commune des Bouches-du-Rhône où les grands-parents et les parents d’Emile passent l’hiver, affirme que ce genre de drame peut frapper n’importe quelle famille.

Un “chasseur de papillons”.

C’était un accident, pas une négligence. La nature est un ennemi. J’ai un petit garçon qui a le même âge qu’Émile. “Quand ils détectent une rivière ou tout autre élément naturel, ils y affluent”, a-t-elle déclaré au journal. Le petit garçon, surnommé le “suiveur de papillons” par sa famille et ses amis, est activement recherché par un important groupe de bénévoles.

C’est toujours difficile de parler à Émile. Les espoirs sont faibles après six longues journées de recherche en faisant passer un lit de camp dans le quartier. L’enfant de deux ans est porté disparu depuis le 8 juillet. La petite ville du Haut Vernet dans les Alpes françaises est toujours sous contrôle gendarme.

De nouvelles perquisitions le mercredi 12 juillet et le jeudi 13 juillet ont conclu les recherches approfondies le long de l’artère principale et dans des zones plus ciblées. De nombreux témoins ont été interrogés et la police a accès à une multitude de preuves.

C’est toujours difficile de parler à Émile. Les espoirs sont faibles après six longues journées de recherche en faisant passer un lit de camp dans le quartier. L’enfant de deux ans est porté disparu depuis le 8 juillet. La petite ville du Haut Vernet dans les Alpes françaises est toujours sous contrôle gendarme.

De nouvelles perquisitions le mercredi 12 juillet et le jeudi 13 juillet ont conclu les recherches approfondies le long de l’artère principale et dans des zones plus ciblées. De nombreux témoins ont été interrogés et la police a accès à une multitude de preuves.

Toutes les pistes ont été épuisées, comme le confirme le procureur de Digne, Rémy Avon, dans les pages du premier quotidien mondial. Après près d’une semaine de recherche, le juge déclare : “Aucune théorie n’est privilégiée, aucune théorie n’est exclue”. Les équipes d’enquêteurs vont devoir parcourir 1200 messages laissés sur la disparition d’Emile sur la hotline des témoins.

Alors que la plupart des habitants du village ont fui, la gendarmerie continue de monter la garde. La ville a institué un arrêté, et le Haut Vernet sera inaccessible encore quelques jours. C’est important non seulement pour l’enquête, mais aussi pour garder les habitants à l’aise.

Le père d’Emile est un mystère.

La famille Emile fait toujours profil bas à ce sujet, ce qui ne manquera pas de faire froncer les sourcils. Marie, la mère d’Emile, est issue d’une famille catholique pieuse bien connue dans la communauté. En effet, depuis deux décennies, cette nichée de dix enfants passe ses étés chez leur grand-mère dans le Haut-Vernet. Alors que la théorie de “l’or des fous” ne parvient pas à influencer de nombreux chercheurs, certains sont intrigués par la réaction de la famille d’Emile, en particulier celle de son père, Colomban.

Cette situation est comme une bombe qui explose dans une petite ville de seulement vingt-cinq habitants. Selon un habitant de La Dépêche, “Le Haut Vernet est une impasse, on n’y monte pas par hasard”. Ici, tout le monde sait tout. Il semble que le père d’Emile ait eu une attitude blasée quand nous nous sommes penchés dessus.

Il était très autoritaire et n’hésitait pas à élever la voix pour corriger quiconque manquait, à son avis, de la bonne tenue. Un bénévole qui a été témoin de l’incident déclare : « Je pense que nous avons tous été un peu surpris par ce que nous avons vu.

Le passé est-il revenu nous hanter ?

Dans ce cadre, même les plus petits détails comptent. Dans ce cas, c’est l’histoire de Colomban qui mérite une enquête. Cet ingénieur en poste à Marseille a un passé pas tout à fait anodin, teinté d’un militantisme politique extrême. En fait, il a fait partie du mouvement d’extrême droite, nationaliste et royaliste de l’Action française.

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